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								 L’ennemi sioniste a depassé dans sa guerre 
								contre le Liban tout ce qui est confirmé par les 
								traités internationaux et les lois humanitaires 
								émis par les différentes institutions 
								internationales, et la Déclaration des droits de 
								l'homme, pour protéger les civils, les biens 
								civils et les personnes qui ne 
								participent pas aux hostilités. 
 Cet ennemi arrogant peut ignorer tous les 
								traités et législations internationales 
								concernant la protection des civils, ainsi il 
								mena une attaque généralisée contre les 
								infrastructures civiles publiques au Liban, au 
								mépris de tous ces traités et lois 
								internationaux, et en les défiant.
 
 L'attaque ne s'arrêta pas aux maisons détruites 
								et aux fermes qui ont été incendiées, ni aux 
								civils tués, mais c’était au-delà de la 
								combustion des forêts et de la mort d'animaux, 
								de la pollution environnementale dont souffrira 
								le Liban pour une longue période.
 Pendant les 33 jours de bombardement sur terre, 
								aérien et maritime sur le Liban par les forces 
								israéliennes, l'infrastructure de base dans le 
								pays a subi des destructions massives larges qui 
								ont atteint l'étendue de la catastrophe.
 
 La Force aérienne des attaques sionistes a lancé 
								plus de 7.000 raids aériens, alors que les 
								mécanismes Marins ont lancés 2500 bombardements, 
								ce qui a causé la démolition complète des 
								bâtiments et transformant des quartiers entiers 
								en ruines et les villages et villes en villes 
								des fantômes, de meme les routes principales, 
								ponts, stations d'essence se sont détruits.
 
 Les maisons se sont détruits sur les habitants 
								causant la mort entière des familles, et brûlant 
								des voitures avec les chauffeurs, ainsi la 
								machine de mort israélienne était la pionnière 
								dans le crime tel qu'il est enregistré dans 
								l'histoire de l’hunanité la plus tragique et les 
								massacres les plus terribles dans les temps 
								modernes, l'agression de l’ennemi est allé 
								beaucoup plus loin où des dizaines de martyrs 
								ont resté ensevelis sous les décombres de leurs 
								maisons pendant des semaines, malgré que les 
								hommes de la défense civile ont été interdis et 
								d'autres secouristes, à l'accès aux zones 
								touchées, qui les ont considérés comme des 
								objectifs de la machine de trahison brutale.
 L’infrastructure n'a pas été livrée de 
								l'attentat qui a frappé les aéroports, les 
								ports, les usines de traitement d'eau et d'égout, 
								les installations électriques, ponts, routes, 
								stations d'essence et les entreprises.
 
 Les dommages aux installations d'eau
 
  De nombreux puits et des conduites d'eau et 
								réservoirs de stockage, des stations de pompage 
								et des installations de traitement de l'eau dans 
								diverses parties du sud du Liban ont été 
								détruits, également le réseau d'eau dans le pays 
								a été perturbé, parce que les conduites d'eau 
								sous les routes ont été lourdement endommagées 
								quand il y a eu bombardement des routes 
								ci-dessus. 
 Les dommages aux centrales électriques et les 
								fournitures de carburant
 Plus de 20 des centrales électriques et des 
								stations d'essence ont subi d'importants dégâts. 
								Il y a aussi destruction complète d’un dépôt de 
								carburant par les raids aériens, également 25 
								stations ont été détruites ou gravement 
								endommagés.
 
 Les dommages à l'aéroport international de 
								Beyrouth
 
 
								
								 L’aéroport international de Beyrouth a été cible 
								des navires et des avions sionistes à plusieurs 
								reprises. C’était l’une des premières cibles qui 
								a été frappée, et la première attaque aérienne 
								sur les réservoirs de carburant de l'aéroport a 
								été transformée en brasiers enflammés, tandis 
								que la deuxième vague a creusé des cratères sur 
								les trois pistes principales. 
 
 
								  
								
								Les dommages aux portsLes Forces sionistes ont attaqué les ports 
								maritimes, tout au long de la côte libanaise, 
								sans tenir compte de tous les traités 
								humanitaires ou la Charte des Droits de l’homme. 
								Cependant, la machine de guerre sioniste n'a 
								laissé aucun point de la côte du Liban sans 
								l’attaquer et frapper d'incendie barbare, ou le 
								contaminer par des fuites de carburant suivant 
								les bombardements, causant la panne dans tous 
								les ports, y compris trois principaux ports 
								maritimes de Beyrouth, Tripoli et Saïda.
 
 Les dommages aux hôpitaux
 
  Les hôpitaux dans de nombreuses régions du pays 
								n’ont pas été aussi livrés, où ils ont été 
								sévèrement endommagés à la suite de l'attentat, 
								en particulier dans le sud, où il y avait deux 
								hôpitaux publics de Bent Jbeil et Mays El Jabal 
								qui ont été complètement détruits par la 
								barbarie des attaques israéliennes, et trois 
								autres ont été gravement endommagés dans le 
								domaine de la banlieue sud de Beyrouth où les 
								hôpitaux ont été contraints à fermer en raison 
								de la chute quotidienne des obus tout autour. 
 Également, hôpital Dar Al-Hekma a été attaqué 
								directement, malgré que l'ennemi israélien 
								prétendait être le siège de la direction de la 
								Résistance. Le 2 août, il a été attaqué par des 
								hélicoptères des commandos israéliens, appuyés 
								par des avions de combat et des avions espions, 
								dans la ville de Baalbek dans la vallée de la 
								Bekaa. Sur ce, l'armée sioniste a déclaré avoir 
								capturé cinq membres de la de Résistance.
 
 Dans le village de Tibnin au sud du Liban, les 
								forces d'Israël ont lancé, quelques heures 
								seulement avant l'entrée en vigueur de la 
								cessation des hostilités le 14 août, des bombes 
								à fragmentation tout autour de l'hôpital public, 
								où des centaines de civils avaient cherché 
								refuge, et endommageant ses murs extérieurs.
 
 Les dommages aux infrastructures économiques 
								:
 
  - Bombardement de centrales électriques et les 
								zones de stockage de carburant. - 31 bombardements d'installations industrielles.
 - Destruction complète de sept imprimeries.
 - Destruction complète de plus de 38 maisons 
								d'édition, avec plus de dix millions de livres 
								brulés, et c'est ce qui a poussé l'Association 
								des éditeurs pour surnommer l’agression 
								l’Holocauste des livres.
 - La brulure de plus de deux mille véhicules.
 - Destruction et dommages de plus de 700 
								supermarchés et magasins.
 
 Enquête sur les dégâts importants aux 
								structures agricoles :
 
  - 1800 hectares de forêt et zone forestière ont 
								subi par le feu des dommages directs. - Perte incalculable de pêche et l'élevage des 
								volailles.
 - La destruction de plus de dix entrepôts 
								agricoles qui a conduit à l'infiltration des 
								pesticides, des engrais, de nature agricole.
 - Décès de plus de 3000 bétail produisant du 
								lait.
 - Décès de plus de 1250 taureaux.
 - Décès de plus de 15.000 chèvres et moutons.
 - Plus de 19 000 ruches ont été touchés.
 - Décès de plus de 600.000 poulets.
 
 Enquête sur les dommages à la pêche et les 
								indemnisations:
 - Environ 7585 pêcheurs ont été endommagés et 
								répartis sur 42 points de pêche avec des dégâts 
								directs et indirects ; il y a eu alors une 
								enquête sur ces dommages accompagnée avec le 
								fait de fournir des dons comme compensations 
								pour leurs pertes causées par l'agression 
								israélienne sur le Liban (Juillet 2006)
 
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